« Point de faisans dans l’île ! » écrit Victor Hugo, en traversant la Bidassoa, avec Juliette Drouet, pour se rendre à Irùn.
« C’est la règle générale. A Paris, au Marais, (où habite l’écrivain), il n’y a pas de marais ; rue des Trois-Pavillons, il n’y a pas de pavillons ; rue de la Perle, il y a des gotons (des prostituées en argot) ; dans l’île des Cygnes (près de la Tour Eiffel), il n’y a que des savates naufragées et des chiens crevés. Quand un lieu s’appelle l’île des Faisans… il y a des canards ! O voyageurs, curieux impertinents, n’oubliez pas ceci ! »
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